Pierre passa l'obscurité à songer chaque objet de la coffre, attendrissant des annotations approfondies. Il traça le contour des inscriptions, mesura les montres, saisissant leurs tenants et aboutissants aux échantillons réputés. Pourtant, au matin, il constata avec stupeur que quelques inscriptions avaient changé. Des prénoms gravées sur un joyau semblaient s’être effacées, tandis qu’un vieux carnet de annotations avait perdu de multiples résultats. Il savait que la voyance par téléphone sérieuse expliquait que certaines personnes objets portaient une mémoire fluctuante, une tonalité d’événements qui cherchaient à s'exercer. Mais jamais il n’avait vu des reliques se transformer par-dessous ses yeux, réécrivant leur qui est à vous existence. Intrigué, il tenta une autre consultation au téléphone. Il plaça un vieil encrier en cristal marqué par une cloche en verre, s’assurant qu’il ne pouvait être atteint ou déplacé. Il nota tout détail sur un carnet : la couleur juste de l’encre séchée, les minuscules fissures sur le cristal, la niveau précise de l’objet. Quelques heures postérieurement, il souleva la cloche. L’encrier était vivement là, mais sa forme semblait légèrement différente. Il observa plus méticuleusement : l’encre, des temps anciens d’un morne significatif, avait viré à une teinte sépia. Une microfissure qu’il avait relevée sur le cristal avait défunt. La voyance au téléphone enseignait que certains phénomènes n’étaient pas des illusions, mais des matérialités en indissoluble mouvement. Cet ballon n’était non seulement familial. Il appartenait à un flux temporel qui refusait d’être figé. Pierre comprenait brin à brin que cette caisse ne contenait pas simplement des mémoires d’un autre expériences. Elle semblait sembler une passerelle entre une multitude de dates, un fragment de évocation collective qui s’adaptait à celui qui l’observaient. La voyance par téléphone sérieuse affirmait que certains objets conservaient un lien avec leurs propriétaires, même arrière leur disparition. Était-ce la situation ici ? Ces mémoires cherchaient-ils un nouvel hôte, quelqu’un capable de les compter ? L’idée qu’un coulant antiquaire soit le gardien involontaire d’une telle devinette le troubla grandement. Il ne pouvait plus ignorer les transpositions qui se produisaient sous ses yeux. Cette cantine contenait une information qui devait sembler décodé évident qu’elle ne disparaisse à présent, emportant avec elle les nouvelles traces de celles qui l’avaient possédée.
